Restauration de l’armure d’apparat de François de Montmorency : dorure et acier bleui
Le musée des Beaux-Arts de Draguignan conserve une demi-armure équestre d’apparat ayant appartenu à François de Montmorency (1530-1579), militaire et fils du connétable Anne de Montmorency. L’armure a été confiée au C2RMF dans une optique d’étude et d’analyse, suivie par sa restauration en 2018 pour exposition.
Description
Cette pièce remarquable a été réalisée en alliage ferreux martelé à chaud. Les éléments sont assemblés par rivetage ou se fixent à l’aide de sangles de cuir. La garniture textile qui devait couvrir la surface interne a aujourd’hui disparu, il n’en subsiste aujourd’hui que le velours des gantelets.
La surface de l’armure a été décorée à l’aide de deux techniques distinctes qui font jouer les contrastes entre surfaces sombres et lumineuses. Le décor s’installe sous forme de registres verticaux alternant plages dorées et acier bleui. Les éléments constitutifs de l’armure ont tous été ornés par gravure, probablement à l’acide, puis l’acier a été doré ou travaillé thermiquement pour obtenir un bleui. Les recherches menées en interne par le C2RMF ont montré que les surfaces dorées avaient été préalablement cuivrée, ce cuivrage permettant l’adhésion de la dorure. Les dorures ont été réalisées à l’amalgame de mercure et prennent place sur des bandes décorées de rinceaux, de végétaux et de grotesques. Cette technique de dorure se retrouve également au centre des bandes bleuies qui sont gravées d’un monogramme doré répété, élément qui a permis d’identifier cette armure comme étant celle de François de Montmorency.
Cet objet prend une place importante dans les collections du musée de Draguignan, actuellement au cœur d’un grand projet de rénovation. La future muséographie prévoit de mettre à l’honneur cette demi-armure d’apparat de la fin de la Renaissance (fig. 1).

État sanitaire
Lors de sa réception au C2RMF, l’armure semblait avoir subi plusieurs tentatives de remontage essayant de pallier la disparation des lanières de cuir originales qui servaient à son assemblage. Elles se traduisaient par des perforations dans les zones de contact des différents éléments altérant sa mobilité et offrant une présentation rigide, en position debout. Les bandes de cuir permettant la solidarisation des tassettes constituant les épaulières, les cuissardes et les genouillères avaient été remplacées. Quelques manques étaient également à déplorer, seuls deux doigts étaient encore en place sur le gantelet droit, et il n’en subsistait aucun sur le gantelet gauche. Malgré ces modifications et ces éléments lacunaires, la demi-armure s’avérait être en bon état structurel global. L’état de cet objet ne lui rendait cependant pas justice, l’armure présentant un aspect particulièrement terne. Les surfaces étaient encrassées avec des produits de corrosion superficiels qui rendaient la lecture des décors délicate. La dorure présentait des zones d’usure mais restait cohérente et montrait un bon état de conservation. Les surfaces en acier bleui à l’inverse étaient très altérées et usées. Elles avaient été recouvertes à deux reprises de vernis noir opaque, composé de résine terpénique, probablement posé afin de restituer le contraste entre les deux types de décors présents sur l’armure. Ces repeints s’étaient dégradés, et formaient des plages brunâtres particulièrement ternes et hétérogènes. Le soclage de l’armure est assez ancien et se présente sous la forme d’un piédestal en bois recouvert de velours rouge (fig. 2).
Suite à une étude préalable[1], un projet de restauration de l’armure a été mis au point sous l’égide du C2RMF. Une équipe pluridisciplinaire de conservatrices-restauratrices composées de trois restauratrices spécialisées en métaux (Sarah Dubuisson-Gonnet, Laura Caru et Anne-Marie Geffroy), d’une restauratrice de peintures spécialiste des supports métalliques (Laurence Mugniot) et d’une restauratrice textile (Thalia Bajon-Bouzid) s’est consacrée à ce travail. Outre la stabilisation de certaines altérations, notamment du textile, les objectifs principaux étaient 1./ de redonner une meilleure lisibilité aux décors en nettoyant les surfaces encrassées et les repeints dégradés, 2./ de proposer une solution harmonieuse de retouches des usures des décors, notamment de l’acier bleui, et 3./ de protéger les éléments pour assurer leur conservation à long terme. Une réflexion poussée a également été menée à l’aide d’un socleur d’art afin de présenter l’armure sur un support adapté. Celui-ci soulagerait les assemblages, notamment ceux en cuir, l’armure pesant 26,8 kg. Ce socle aurait également l’avantage d’être modulable pour permettre différentes positions des bras et des jambes et pourrait suivre l’armure dans ses différents lieux d’exposition (plusieurs lieux étant déjà envisagés avant son retour à Draguignan).

Traitements de restauration
L’étude préalable rédigée en 2017 a aiguillé les premiers tests de nettoyage réalisés sur les surfaces dans le but d’établir le protocole de restauration. Trois types de surfaces étaient représentés sur l’armure, une intérieure, qui n’était pas destinée à être vue et deux extérieures, richement ornées. Les parties internes en acier martelé présentaient une patine noire, de nombreuses plages de corrosion de l’alliage ferreux ainsi qu’un fort encrassement. Les parties extérieures sont constituées, d’une part, d’un décor d’acier bleui portant de nombreuses couches de repeints en surface et, d’autre part, de zones dorées.
Traitement des parties internes
Dans un premier temps, le traitement s’est concentré sur les surface internes, pour ce faire les textiles encore présents sur l’armure ont été protégés. Ils ont été soigneusement emballés à l’aide de film polyéthylène et de Tyveck®. Les textiles ainsi isolés, l’ensemble des surfaces internes a été traité à l’aide de brossettes acier montées sur micro-tour. Cette opération a été réalisée sous aspiration afin d’éviter tout dépôt. La surface a ensuite été dégraissée à l’acétone puis inhibée à l’acide tannique pour enfin recevoir une protection de cire microcristalline.
Traitement des décors dorés
Les décors dorés montraient un très fort encrassement avec pour certains éléments des résidus de vernis jauni dans les creux des gravures. Certaines zones, pour la plupart en périphérie, montraient des lacunes de dorure ainsi que des plages, en surépaisseur, de corrosion de l’alliage ferreux brun. Le nettoyage consistait donc en deux étapes bien distinctes : un décrassage des surfaces et un traitement de la corrosion. Dans un premier temps les surfaces ont été nettoyées à l’acétone, solvant sélectionné après tests. Suite à ce nettoyage essentiellement mené à l’aide de coton sur bâtonnets, différents essais ont été mis en place pour trouver le protocole permettant le nettoyage de la dorure et le traitement de la corrosion. Plusieurs chélatants (EDTA tétrasodique, EDTA disodique et triammonium citrate) des alliages ferreux ont été testés sous différentes formes (compresses, gels avec différents agents gélifiants et différentes concentrations). Des différents tests, le citrate de triammonium (TAC) utilisé en compresse s’est avéré le produit le plus apte à atteindre les objectifs fixés (fig. 3), probablement grâce à son action sur les ions Fe3+ et les ions Cu2+, ions présents autant dans la couche de composition de l’armure en alliage ferreux (Fe3+) que dans la couche cuivreuse d’accroche de la dorure (Cu2+). Plus localement, le scalpel ou le stylo à ultrasons ont été utilisés pour abraser les corrosions en surépaisseur. Une fois ce nettoyage réalisé, le décor doré a été rincé à l’eau déminéralisée puis séché à l’acétone et au pistolet à air chaud quand cela était possible (absence de cuir ou textile au revers).

Élimination des repeints sur l’acier bleui
L’acier bleui est un traitement d’oxydation sur le fer. Celui-ci est mené par un processus de chauffe qui, bien mené, permet à l’alliage ferreux de prendre une teinte homogène bleue. Ces zones de décors présentent de nombreux repeints (fig. 4). Plusieurs tests ont été réalisés afin de déterminer le domaine de solubilité des repeints. Pour ce faire, les protocoles de tests employés couramment pour le nettoyage des couches picturales ont été requis. De petits essais ont été réalisés à l’aide de mélanges composés de ligroïne et d’acétone ou d’éthanol.
Comme nous pouvions nous y attendre, les repeints à base de résine terpénique se sont révélés sensibles aux solvants polaires, et principalement à l’acétone pure. La solubilité n’est cependant pas totale. Des gels de solvants ont été essayés (gel d’acétone, gel d’acétone et d’alcool benzylique) : une action plus importante a été observée, mais elle nécessitait des temps de pose important, et des craintes d’usures de la dorure sont apparues. Le choix d’un nettoyage chimique a donc été écarté.
Les vernis étaient particulièrement lacunaires et le réseau de fissures les parcourant les rendait cassants. Ainsi, un retrait mécanique par l’utilisation d’un stylo à ultrasons a été testé. Cette méthode, jugée très satisfaisante, a été utilisée dans le but de retirer les repeints et de traiter en parallèle la corrosion de l’alliage ferreux.

Retouches et protection de l’acier bleui
Une fois l’ensemble du nettoyage réalisé, la surface externe de l’armure a été entièrement vernie au Paraloïd® B72. Cette opération remplissait deux objectifs : protéger les surfaces et constituer une interface qui serait le support des retouches.
Le nettoyage de l’encrassement et des repeints a mis en évidence l’étendue des usures et renforcé la gêne visuelle que ces dernières représentent. Toutefois, cet état d’usure n’a rien d’homogène : les plages dorées présentent des usures modérées, ponctuelles, principalement cantonnées aux parties supérieures (sommet du casque…). Les altérations des zones traitées en acier bleui sont en revanche bien plus importantes et gênantes que celles des surfaces dorées.
Nous distinguons deux phénomènes : tout d’abord une usure du revêtement en acier bleui, laissant la teinte grise de l’acier à nu. Cette usure est très disparate. De façon générale, les zones cachées (dessous des canons, des gantelets, gorgeron) sont mieux préservées et présentent une surface sombre très brillante, avec des reflets bleus importants. À d’autres endroits en revanche, le revêtement d’acier bleui n’est présent que sous forme de petits ilots dispersés. Enfin, sur le casque, le dessus des épaulières, le plastron arrière, le revêtement d’acier bleu a quasi intégralement disparu. Par ailleurs, même après nettoyage des surfaces, une teinte brune rougeâtre due aux corrosions de l’acier est localement perceptible dans les usures. Ces taches brunes, contraire à la dominante froide du revêtement initial, sont également plus importantes dans les parties supérieures (casque, dessus des épaulières, dessus des bras…).
Considérant les qualités esthétiques de cet objet et son caractère unique au sein de la collection du musée de Draguignan, il est apparu que cet état n’était pas jugé satisfaisant. Il ne permettait pas de comprendre le jeu de forts contrastes colorés de ce décor à bandes et l’éclat brillant des surfaces, préservées uniquement dans des zones cachées au regard du spectateur. Il est donc apparu souhaitable d’envisager une réintégration des plages en acier bleui.
Des essais de retouches sur les plages d’acier bleui ont ainsi été réalisés afin de déterminer le degré de celles-ci.
Des essais juxtaposés de petite taille puis sur de plus grandes plages ont donc été réalisés et comparés afin de pouvoir évaluer l’intérêt de différentes propositions ainsi que de mettre au point des solutions techniques pertinentes. Il est à noter que restituer par la retouche une surface métallique bleuie est complexe techniquement et peu pratiquée : des recherches ont donc été menées pour trouver des matériaux et des techniques satisfaisants. En outre, la retouche devait pouvoir permettre l’application d’une protection finale composée de cire microcristalline.
Dans un premier temps, des essais à l’aide de glacis ont été appliqués à l’aide du vernis employé pour la protection mais légèrement coloré, matériau garantissant une bonne réversibilité et une innocuité au contact du métal. Ce matériau permettait également l’application ultérieure d’une cire de protection. Deux teintes ont été testées : noir d’ivoire ou bleu sombre (bleu outremer associé au noir d’ivoire). Cette retouche transparente a été faite au pinceau de retouche, en détourant les décors gravés dorés et les ilots subsistants de bleui. Cette solution de retouche assombrit l’éclat gris clair des zones usées, et confère ainsi une plus grande homogénéité aux plages d’acier. Les usures et taches brunes sont atténuées mais restent néanmoins perceptibles avec un examen rapproché : de près, les surfaces retouchées apparaissent irrégulières et tachetées. Cette technique n’a donc pas été retenue car pas assez couvrante et pas assez esthétique.
Des essais de retouche plus poussé ont aussi été menés, visant cette fois à restituer dans les usures un aspect plus proche d’un revêtement en acier bleui. À nouveau, il a été décidé de retenir le Paraloïd® B72. Une réintégration en deux étapes a été réalisée :
- une teinte, ou sous-couche, a été appliquée ponctuellement et uniquement sur les taches dues aux résidus de corrosion pour en neutraliser les effets rougeoyants. Plusieurs matériaux ont été sélectionnés : nous avons testé du graphite en poudre, du mica teinte blanc nacré (dioxyde de titane et mica), et un mélange des deux. Ces poudres inertes ont été mélangées à du Paraloïd® B72 (10 %) et appliquées de façon légère. Nous observons que la poudre graphite, très couvrante, donne un aspect métallique proche de l’acier nu : ce matériau s’avère très satisfaisant. La poudre mica apporte une nuance nacrée, avec des reflets bleutés, légèrement scintillante.
- une teinte en glacis, bleu sombre ou noire, semblable à celle qui avait été testée dans un premier temps (vernis Paraloïd® teinté), est ensuite appliquée sur l’ensemble des surfaces usées au pinceau de retouche, en détourant les ilots d’acier bleui original. Deux à trois couches de glacis superposées sont nécessaires pour atteindre l’intensité souhaitée.
Ces essais se sont révélés probants, rétablissant un aspect assez proche des surfaces en acier bleui visibles sur l’objet. Ils confèrent ainsi une assez grande homogénéité aux plages traitées, notamment grâce à la sous-couche. Un examen rapproché et attentif permet toutefois de distinguer la réintégration des plages de revêtement original. Nous avons observé que l’emploi de mica, mica et graphite ou de graphite seul en sous-couche induit de très légères différences de teintes et d’effet : le mica renforce l’aspect bleuté mais employé seul il peut entraîner des effets nacrés excessifs, trop scintillants.
À l’issue de la présentation de ces tests, Grégoire Hallé, conservateur du musée des Beaux-Arts de Draguignan et responsable de l’œuvre, a retenu une solution de retouche poussée. Elle permet de rétablir une plus grande homogénéité des zones, en calmant usures et taches rouges dues aux corrosions, et de rendre perceptible au public les teintes et l’aspect initial de ce revêtement très usé. Esthétiquement, cette solution de retouche s’avère convaincante, bien qu’il soit entendu qu’une retouche avec pigments et liant ne puisse prétendre à restituer parfaitement le reflet métallique du bleui. La réversibilité de cette proposition de réintégration est aisée, la retouche étant composée en grande partie du même matériau que la protection de surface.
Cette retouche illusionniste en deux étapes a été retenue : une sous-couche composée à part égale de mica de teinte blanc nacré et de graphite en poudre liée au Paraloïd® B72 a été appliquée sur les taches brunes. Des glacis bleu sombre composé de vernis Paraloïd® B72 mélangé sur une palette à un peu de peintures au vernis (Gamblin® colors, pigments liés au Laropal® A81) ont ensuite été soigneusement appliqués sur les usures des bandes de bleui. Les couleurs retenues ont été choisies en raison de leur transparence : noir d’ivoire et bleu outremer principalement, mais également un peu de laques jaunes et rouges pour ajuster la teinte en fonction des plages préservées d’acier bleui. Le solvant de mise en œuvre (acétate d’éthyle et diacétone alcool) a permis un rendu brillant et régulier, malgré l’application au petit pinceau. Toutefois, nous soulignons le temps important qui a été nécessaire pour ce traitement, chaque couche nécessitant des temps de séchage suffisants pour permettre l’application suivante (fig. 5, 6, 7).

figure 5. Vue de l’épaulière droite après nettoyage : le bleui est presque complètement disparu, les taches brunes nombreuses. © Mugniot ; figure 6. Vue de l’épaulière après application de la sous-couche composée de mica et de poudre graphite : la teinte des bandes est plus homogène, la surface présente un éclat métallique légèrement bleuté. © Mugniot.

figure 8. Vue du plastron arrière après retouche : le témoin sur l’omoplate met en évidence le degré poussé de la retouche dans les plages de bleui. © Mugniot.
Retouche de la dorure et protection de surface
Afin d’assurer la conservation à long terme de l’armure, une protection multicouche a été posée à sa surface. Comme évoqué plus haut un vernis acrylique Paraloïd® B72 en solution à 10 % dans un mélange 30/70 de diacétone alcool et d’acétate d’éthyle a été déposé au pinceau sur les surfaces externes permettant une protection mais également une sous-couche aux retouches afin de les rendre totalement réversibles.
La dorure présentait un état de conservation bien meilleur que celui de l’acier bleui. Il a donc été décidé de ne retoucher que les zones les plus altérées, attirant l’œil et perturbant la lecture globale de l’objet. Cette opération a été menée à l’aide de pigments micas en suspension dans de la gomme arabique, posés au pinceau en couches successives afin d’atteindre l’effet couvrant et la brillance désirée.
Dans un second temps, suite aux retouches, une couche de cire microcristalline à 10 % dans le white-spirit a été passée à la brosse souple sur les zones préalablement protégées au vernis. Cette couche a été lustrée au chiffon doux après séchage.


figure 9. Détail du plastron et des épaulières avant et après traitement et retouche. © Dubuisson-Gonnet.
Conclusion
Après sa restauration et les opérations de soclage, l’armure a été exposée au musée du Louvre avant son retour au musée de Draguignan. Le socle, totalement modulable et réalisé par François Lunardi pourra suivre l’œuvre sur ses différents lieux d’exposition.
Sa réintégration à un degré poussé a permis une réelle réflexion sur le niveau et les techniques de réintégration des aciers bleuis ; la restitution d’un aspect métallique à l’aide des produits de restauration aujourd’hui disponibles n’étant pas toujours aisée. Les partis pris au fur et à mesure de l’avancement du chantier, au cours des tests techniques et de réversibilité, des réunions et des débats, auront permis de répondre au projet culturel attendu pour l’armure, une des pièces majeures du musée de Draguignan.
Bibliographie
[1] GEFFROY Anne-Marie, BAJON-BOUZID Thalia, « Étude préalable à la conservation-restauration de l’armure d’apparat de François de Montmorency », rapport au Centre des monuments nationaux, 2017.
Auteures
Laura Caru*
Conservatrice-restauratrice indépendante.
Laurence Mugniot
Conservatrice-restauratrice indépendante.
Sarah Dubuisson-Gonnet
Conservatrice-restauratrice indépendante.
* Auteure correspondante.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
INP (25 janvier 2021). Restauration de l’armure d’apparat de François de Montmorency : dorure et acier bleui. Variations patrimoniales. Le carnet de l’INP. Consulté le 20 avril 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/12sob